Contenu

Sans titre: [roman, 23 x 17 cm, 192 pages]

Résumé
Tiré du site Internet d'Art & fiction: "Sans titre est un roman, ou plus exactement un récit dans le genre des témoignages dont regorge l'édition contemporaine, du type "ma vie est passionnante" ou "toute la vérité´ sur ce que j'ai vécu" ... Ce sont les souvenirs d'une œuvre d'art, un des chefs-d'œuvre du XXIe siècle. En se découvrant soudainement un don de parole, cet objet, exposé dans l'immense musée du Nouveau Louvre, décide de raconter son histoire à un visiteur, pour corriger les versions officielles qui lui semblent trop éloignées de la réalité. C'est le premier roman d'Hubert Renard, plus habitueé à faire des images qu'à écrire de la littérature. Il tente de décrire la fabrique de l'art, mais surtout d'inventer, à travers la naïveté d'une voix imaginaire, une façon de raconter, de mettre en image les rouages du système culturel, tout en s'éloignant des analyses structurelles qui ont déjà été faites. Il s'agit ici de chercher, à travers la voix fictive d'une œuvre, où se cache le mystère de l'art. Difficile de déterminer - mais est-ce important ? - si ce livre est à ranger du côté de la littérature ou du côté des arts plastiques ... Né en 1965 à Lyon, Hubert Renard vit et travaille à Paris. Il construit sa propre et possible carrière d'artiste, en accumulant une documentation constituée de catalogues d'exposition, d'articles de presse et de monographies."
Durée: 6h. 37min.
Édition: Lausanne, Art & fiction, 2013
Numéro du livre: 20944
ISBN: 9782940377602

Documents similaires

Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19356
Résumé:A l'exemple de Gorki, faut-il avoir subi toutes les misères et senti toutes les beautés du monde, pour oser s'attaquer aux souvenirs de l'enfance, exhumés de la mémoire avec la fulgurance de l'éclair ? Mémoires séquentielles qui expliquent l'amour de la liberté et de la justice mais aussi la violence, la tendresse, la rébellion que pimentent et adoucissent tout à la fois l'humour et la satire de soi-même. « "Ce sont les hommes qui amènent leurs fils à l'école le premier jour " : d'un geste inhabituel, mon père m'empoigne la main qu'il serre très fort à me faire mal. Je le regarde mais lui ne me voit pas. On dirait qu'il a hâte d'arriver ; j'ai de la peine à le suivre. Mon sac d'école ballotte dans mon dos ; on entend qu'il n'y a pas grand-chose dedans : une règle, une plume à bec, une boîte de crayons de couleur Caran d'Ache. Jeudi dernier, je suis allé avec ma mère aux Galeries Vaudoises. Le sac, c'est moi qui l'ai choisi : il est rouge avec des lanières blanches, aux couleurs de la Suisse. »
Lu par : Pierrette Johner
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20257
Résumé:« Je ne suis parti que depuis ce matin et pourtant, j'ai déjà le mal du pays. Mon pays s'appelle Morgane. Morgane, ma fille, ce pays sans frontières, au coeur de ma surprise. Ce pays déréglé, détraqué, défectueux. Ce pays sans emblème, aussi déboussolant qu'attachant. Ce pays qui me rend fou. Ce pays qui me dépayse éperdument. » Un père qui lutte de toutes ses forces pour empêcher l'internement de sa fille handicapée dans un hôpital psychiatrique de Genève prend la route des Balkans avec un ancien délégué de la Croix-Rouge qui,vingt ans auparavant, a tenté en vain de sauver des patients de l'hôpital de Vukovar pendant la guerre d'ex-Yougoslavie.
Lu par : Amandine Berger
Durée : 1h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 72595
Résumé:« Dans les moments creux, on dépose une poupée dans les bras de Mme Dumas. Une poupée aux yeux bleus avec de longs cils noirs. Ses paupières se ferment lorsqu’on l’allonge sur le dos. À mesure de la bercer et d’embrasser son crâne en plastique, elle se tranquillise. On dirait que sa seule présence l’aide à recouvrer une sorte de paix. " Que nous réserve le passé ?
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19526
Résumé:Après la belle enquête sur la mort de son père au Liban, sur le fil entre fiction et reportage, Marie Gaulis nous livre un nouveau texte au statut troublant. Rêverie, méditation, réflexion ou fiction, il s'agit en tout cas de l'exposé d'une tristesse anthropologique, du constat d'un paradis perdu, du rêve d'un état encore sauvage. Rousseau n'est pas loin, mais la narratrice est bien une femme du XXIe siècle, lucide, curieuse et joueuse, vivant dans le monde hybride d'aujourd'hui. A travers marches, rencontres et lectures, elle évoque les Aborigènes d'Australie, ces Naturels dont le mode de vie millénaire a basculé au moment de leur rencontre.
Lu par : Jérôme Meizoz
Durée : 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12271
Résumé:"Jours rouges" n'est pas une biographie traditionnelle, mais un récit de mémoire, écrit à partir de la lacune documentaire. Il évoque le parcours d'un militant de base, dans les luttes sociales des années 1930 à 1950. Il s'agit en l'occurrence de mon grand-père, Paul Meizoz (1905-1988). Travailleur industriel en France, il y a été politisé en 1924. Avec ses amis, il tente de syndiquer les mineurs de la première Dixence, lutte contre les dérives soviétophiles du moment, s'implique en faveur des réseaux de combattants espagnols en 1936. Polémiste et animateur d'un "Cercle d'études sociales", il se lie à Jules Humbert-Droz retour d¹URSS, invite Léon Blum à s'exprimer dans le Valais de l'après-guerre.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 3h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19890
Résumé:Quatrième de couverture : « Que l'on soit à la traite ou l'autre devant son établi, les heures pour eux sont fixes, les horaires immuables, les journées réglées, le temps alloué, celui d'une vie, découpée avec minutie avant même que d'être vécue, des jours pareils à ces images patiemment ciselées dans du papier noir, appliquées sur un fond blanc, qu'on envoie pour les fêtes ou qu'on suspend contre les carreaux d'une fenêtre qu'on veut coquette ; tableaux champêtres admirés non point pour la richesse du motif ou pour l'inventivité de l'auteur, mais bien pour la précision du coup des ciseau, la sûreté du trait, la propreté de l'exécution. »
Durée : 2h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20355
Résumé:Xochitl Borel publie L'Alphabet des anges, un récit poétique, qui prend parfois des allures de conte. Il raconte un drame, celui d'une enfant qui perd la vue et de sa mère qui ne sait que faire pour la soulager, mais laisse le premier rôle à la poésie, au verbe, à l'émerveillement.
Lu par : Catherine Bellot
Durée : 5h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 78189
Résumé:Henri, Annette et leurs trois filles évoluent dans un univers tiraillé entre cimes et abîmes, vertigineux de beauté et d’exigences. Les frottements entre villageois et hôtes de passage redessinent quotidiennement la tradition, la foi, les habitudes et l’usage des mots. L’arrivée d’une jeune Française dans cette maison bouleversée par une tragédie brisera cette mutique intranquillité. Escarpées invite à s’asseoir à la table d’une famille le temps de quatre saisons à la montagne, dans les années 1990. Il s’y goûte un quotidien rythmé par la nature, le souffle des bêtes et les fêtes villageoises. L’essentiel est souvent passé sous un silence ourlé de maladresses, d’excès, de gros mots et d’amour, surtout.
Durée : 5h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14664
Résumé:Quatrième de couverture : Trois récits pour accompagner Lucie et la rejoindre dans un épilogue qui ressemble à un commencement. Les temps alternés de l'enfance de Lucie et de la mort de tante Aline, tout le poids des départs et des arrivées...
Lu par : Madiana Roy
Durée : 6h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71243
Résumé:«Un matin, au début du mois d’octobre, je me souviens qu’il faisait très beau, nous avons été réveillés par le cliquetis des échafaudages et les cris des ouvriers. Des bruits de planches jetées les unes sur les autres, des grincements de vis, de crochets, des flottements de toiles nous ont tirés du sommeil. Quelque part dans la maison, un enfant s’est mis à pleurer. Et nous avons su ainsi que ça commençait… » À Lausanne depuis quelques années, les immeubles en restauration sont nombreux. Ils sont cachés derrière des toiles, des échafaudages. Quand on passe dans leur proximité, on entend le roulement des gravats dans les dévaloirs. Parfois ces maisons sont vides, parfois elles sont toujours habitées. Et je me suis souvent demandé comment les locataires vivaient dans le désordre et le fracas et comment ils côtoyaient les nombreux ouvriers, étrangers pour la plupart, qui, à l’exception des électriciens et des peintres, travaillent tous avec des outils bruyants. Jusqu’au jour où c’est autour de notre bâtiment que les échafaudages ont été posés.
Durée : 1h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19795
Résumé:Le 9 juillet de cette année-là, sa vie d'adolescente bascule. Au petit matin, elle est rouée de coups, molestée à la poitrine, frappée au ventre, violée par un homme tandis que deux autres la tiennent par les épaules, puis, une fois leur crime accompli, elle est laissée à terre. Elle sait que ces salauds ne seront jamais retrouvés. Ce n'est pas seulement son corps qu'ils ont souillé. Aussi un sentiment indicible l'envahit-il presqu'aussitôt: malheureusement ils ne l'ont pas tuée...
Durée : 7h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18682
Résumé:«Comprendre pourquoi on ne sait pas. Pourquoi, sachant, on fait comme si on ne savait pas. Pourquoi on oublie certaines choses et pas d'autres. Comprendre de quoi était fait ce temps que j'ai vécu.» Comprendre... comprendre par quels mécanismes la jeune fille d'alors est demeurée dans l'ignorance de cette tragédie que fut le sort des réfugiés, et dont on peut se désolidariser en brandissant tout simplement l'alibi du temps. Depuis 1980, Yvette Z'Graggen poursuit à travers la remémoration une interrogation exigeante sur la Suisse des années de guerre, confrontant et examinant ses souvenirs avec un regard critique et la distance de l'histoire. Dans Les Années silencieuses, elle s'interroge avec une lucidité et une sensibilité qui lui sont propres et donne à son témoignage un éclairage subtil en tentant de revivre cette période par l'acte d'écriture.